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L'histoire avant l'histoire

Avant Le "Loyal Racing Club"  fut le Au BureauRC, puis le Loyal Au Bureau RC ! Quatre années ponctuées d'un seul match par exercice, mais quel match !

En voici les récits d'époque

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Vendredi 23 Juin 1999

 

LOYAL AU BUREAU RC  /  PAMUT FC   4-3

Buts : Tardan, Bazin, Laborde, Tardan.

Lacanette 6 – Gouvet 4, Carella 3, F.Tillos ( cap) 4, Taillefer 3 ( Zapata 3 )- Labeta 4, Estrabou 2, J.Castang 3 (J.Brocq 2),S Laroche 3- Tardan 5 (Bazin 4) , Laborde 4.

 

DES DEBUTS EN FANFARE

 

Après le brouillon brillamment négocié de l’année précédente place de Verdun pour l’inauguration de la brasserie éponyme ce match marque les débuts officiels de la grande équipe du Bureau.

Avec une ossature déjà solide, et une campagne de presse précédant le match susceptible de mettre le feu aux poudres, l’ambiance était à la confiance mesurée dans les rangs du Bureau.

Le fait du match restera le pénalty, contesté des années durant, sifflé par l’arbitre Mr Henniche, pour une faute apparemment indiscutable de Nounours Pardaillan sur Ch.Tardan.

Revenue à deux buts à trois à  ce moment du match, l’armada mutualiste échouera  in-extremis à 4-3,

Sans jamais avoir donné l’impression de pouvoir contester la suprématie du Bureau, faute d’un coaching cohérent et d’une unité palpable. 

Le début d’une grande aventure, et d’une série en cours pour Christophe Tardan : il a marqué à chacune de ses apparitions sous le maillot du Loyal RC.

 

LE COMPTE-RENDU DU MATCH DANS LA PRESSE 

 

Placé les jours précédents sous le signe de la tension, la match de l’année n’a pas déçu.

C’est malheureusement sur une décision arbitrale contestée que la partie a basculé, relançant le débat sur l’arbitrage vidéo : le score était alors de 3 buts à 2 pour le LABRC , Sirot ayant par deux fois réduit le score que Tardan, Bazin, et Laborde s’étaient chargés d’agrémenter.

77° minute :Le diablotin, virevoltant, s’enfonce dans la surface de réparation pamiste ; face à lui, Beto Pardaillan, dérouté par ses dribbles chaloupés, se jette et semble commettre l’irréparrable : le marquis s’effondre, et roule jusqu’au court de tennis . Le temps se suspend… d’autant que l’arbitre marque un temps d’hésitation coupable. Il désigne finalement le point de pénalty, malgré les menaces verbales de P.Levet.

Les tentatives d’intimidation Pamistes sur Ch. Tardan seront sans effet, il transforme le pénalty, et tue le match.

L’entraineur-joueur Pamiste, révolté, réduira une dernière fois le score, mais la ligne Maginot du Bureau qui évolue en 8-1-1 résistera jusqu’au bout.

Le résultat, indiscutable au vu du match, est entaché par ce pénalty contesté, que le ralenti ne permet pas tout à fait de valider.

Alors que les dirigeants Pamistes menacaient de saisir le CNOSF, les supporteurs du Bureau envahissaient le terrain pour porter en triomphe Titou Lacanette, le héros de la fin du match

 

 

Samedi 23 Juin 2001

Stade de Gelos

 

OCIAMUT – Loyal ABRC 4-4

Buts : Laborde, Tardan, Guilhem, J.Tillos

Winograd 3 – Darrigrand 3 (Cambres 3), Gouvet 4, Gerbet 3 (Carella 3),F.Tillos 3

(Lehman 4) –Bernatet 4 (Sabatte 4), H.Palacios 5 (Mirat 3), Pascual 2 (Carcabal 4), J.Tillos 4 (Guilhem 4),Laborde 4 (Laveau 2), Tardan 4(cap) .

 

LE MATCH DE LA HONTE

 

Aigris par des années de désillusions et de défaites, la Pamut devenue Ociamut avait décidé de gagner coûte que coûte. Et cela faillit bien arriver, par la grâce conjuguée d’un recrutement dispendieux et d’une substitution d’arbitre honteuse dans le dernier quart d’heure.

Ce dernier subterfuge désespéré était censé compenser le retour de flamme du LOYAL RC, qui après avoir bu la tasse une heure durant face au milieu de terrain immuable, jeune, et talentueux de l’Ociamut, était revenu à égalité aux forceps. Le match était aussi marqué par l â€˜Ã©limination physique de F.Laborde, cisaillé en pleine course par le gardien adverse, et laissé pour mort pour le sport sur le terrain du Pradeau. Le nul préservait l’invincibilité du Loyal RC, mais l’esprit qui prévalait jusque là lors de cette amicale ( ?) rencontre avait lui été bafoué dans toute les longueurs.   

 

 

LE COMPTE-RENDU DANS LA PRESSE.

 

19H30

Terrain du Pradeau. Coup d’envoi donné par l’arbitre turc de la rencontre .Comme prévu l’équipe expérimentale du Loyal RC souffre le martyr devant la technique du milieu Ociamiste. La tactique visant à faire rentrer en seconde période les forces vives de l’équipe montre vite ses limites, Vigneron le gardien local multipliant de plus les prodiges lors des trop rares incursions loyalistes dans le camp adverse. Le score prend vite des proportions alarmantes : 

1-0,  (tir de Beyrie et but de Wino CSC) 

1-1 égalisation de F. Laborde (qui se fait découper son genou valide peu après)  

2-1 (Sirot ) 

3-1 (tir de Beyrie, doublé de Wino CSC) 

4-1 (but de Cleda !).  Le miracle n’aura pas lieu…

 

20H00  

Coup de téléphone de Jeff Castang et de Paco Laloo, qui annoncent leur forfait conjoint. Ils trahissent la cause et privent leur équipe d’un apport de sang neuf bien utile. Le Loyal refait néanmoins peu à peu surface, grâce aux largesses amicales de l’Ociamut: le Menhir effectue en effet un simulacre de turn-over, et les entrées conjuguées de Ryan Salanon et de Beto Pardaillan d’un côté, de Bernatet et de Greg Lehmann de l’autre, permettent au Loyal de réduire le score par Tardan, d’une somptueuse reprise de volée ( 4-2 ) puis par S. Guilhem ( 4-3 ) avant d’égaliser à la surprise générale en toute fin de première mi-temps par un Jackybovic Tillos transfiguré.

20H05

Sixième tentative de petit pont de l’audacieux Petit Prince de Jean Brouchin F.Tillos, sixième échec.

20H08

Tardan est découpé en rondelle par un des mercenaires inconnus de l’Ociamut dans la surface. L’arbitre consulte son juge de touche : en l’absence de celui-ci, il siffle un six mètres.

20H25

Mi-temps. Photo de groupe, et tentative de recadrage tactique avortée du staff Loyaliste.

20H38

Sabin qui part au but est stoppé d’une cravate sud-américaine par un défenseur non identifié du Loyal.

20H40

Alors que JC Vigneron vient de bloquer à la main la troisième passe en retrait d’un de ses partenaires, le match bascule. Henniche troque sa tenue d’arbitre pour le maillot de l’Ociamut. Si sa présence à la pointe de l’attaque de son équipe ne s’avère pas décisive, son remplaçant en tant que referee s’illustre lui très rapidement.

20H42

Première intervention honteuse de Tonton Pardaillan, le Monsieur Foote local.

20H46

Septième coup-franc sifflé en faveur de l’équipe locale en moins de cinq minutes. Le piège fatal sorti du cerveau torturé de Christophe Pardaillan le parrain du boulevard d’Alsace pour abattre le Loyal commence à fonctionner.

20H48

Le frêle T.Cleda s’effondre dans la surface sans adversaire à portée de tacle. Clin d’œil appuyé de Tonton à son neveu : PENALTY !!!.

H.Latorre, pris d’invraisemblables remords, ou d’un accès de sportivité inattendu, intercède auprès de l’escroc et fait transformer la sanction en un coup franc indirect, tout aussi imaginaire, alors que le coach loyaliste exhortait déjà ses troupes à quitter le terrain.

20H51

Passe en retrait involontaire de Fourchette vers son gardien : COUP-FRANC !! Lolo Sirot s’exécute et rate le cadre d’un cheveu.

20H53

Irruption énergique du coach du Loyal sur le terrain. Sous sa pression physique, Tonton stoppe la rencontre de la honte sur un match nul qui ne satisfait personne, sinon le Menhir du Cantal, qui se permet de donner des leçons de savoir-vivre footballistique , lui l’ancien boucher du Cantal, à l’irréprochable capitaine du Loyal Christophe Tardan.

20H55

Les douze mille spectateurs envahissent le terrain dans la confusion la plus totale.

 

Vendredi 21 juin 2000

 

LOYAL AU BUREAU RC  /  PAMUT FC   4-2

Buts : Laborde, Laveau, Tardan, Debaes.

Winograd 4- Laloo 4( Gouvet 4) , Darrigrand 4( Mirat 3 ), Carella 3( Zapata 3) ,F.Tillos 3(cap ) ( Teiletche 5) – Bernatet 5( Labeta 3) Carcabal 5( Pascual 1) , Debaes 5– Tardan 5( Laveau 4), Laborde 4 ( Castang 2) , J.Tillos 3 ( Guilhem 3). 

 

EN TOUTE LOGIQUE

 

Chauffé à blanc par les propos peu amènes échangés par les deux camps les semaines précédents la rencontre, y compris lors du mariage de F.Tillos auquel étaient conviés une bonne quinzaine des protagonistes du match, le public espérait un affrontement au sommet. Il n’en fut rien !

Seule la désinformation et les attaques éditoriales atteignirent le graal attendu.  

La différence de classe, l’homogénéité du Loyal Au Bureau, la stratégie parfaite déployée ce jour-là, ont fait de ce match la rencontre la mieux maîtrisée et la plus facile de l’histoire du Loyal RC.

 

LE COMPTE-RENDU DANS LA PRESSE

 

Devant un public nombreux et connaisseur, l’équipe du LABRC a conservé sa couronne, lors d’une rencontre disputée dans un excellent – et surprenant – esprit. Les débordements passagers du trio Pere-Escamps/ Pardaillan/ Debaes, étant imputables à la pression générée par une campagne de presse d’avant-match indigne, plutôt que par une réelle volonté de nuire.

Et de match, il n’y eu point.

Pourtant, sans la maladresse inhabituelle de ses attaquants, celle du Nestor Combin jurançonnais Christian Puyau principalement, la Pamut, en état de grâce, aurait pu faire un break décisif.

Mais, dans les buts du LABRC, Winograd veillait, multipliait les prodiges à la surprise générale, et permettait à son équipe d’éviter un naufrage précoce. Le jeu s’équilibra au bout de vingt minutes, et c’est malgré tout contre le cours du jeu que Laborde ouvrait le score, quelques secondes à peine après avoir vendangé l’immanquable. Le vent avait tourné…

En seconde période, seuls Haristouy et Sirot, les jardiniers de l’UJ, firent illusion, Lafargouette usé par d’incessants appels de balle dans son couloir s’étant progressivement éteint. Pere-Escamps ne se distinguait plus que par ses interventions douteuses, Lannes-Petit était porté disparu.

L’égalisation de Faget n’était qu’un feu de paille, que la rentrée de Teiletche  Ã  la place du très –trop ? – offensif F.Tillos se chargeait d’éteindre. Et sans la maladresse congénitale de Jeff Castang la correction eut été mémorable : E.Carçabal avait en effet remplacé à la baguette Jean-Jean Pascual, qui après trente minutes 

d’auto parodie pitoyable avait eu le bon goût de se blesser. Le duo d’attaque composé de Tardan et du TGV de Mouguerre Ch.Laveau allait alors se charger de gonfler le score. Bernie Sirot avait beau s’escrimer, dribbler douze adversaire à la minute, la science légendaire ( !) du jeu de la plupart de ses partenaires empêchait toute concrétisation.

Après que le Pitbull Morlanais C. Debaes eu marqué le plus beau but du match d’un maître tir de vingt-cinq mètres, l’arbitre accordait un pénalty aussi charitable qu’imaginaire à la Pamut : d’une frappe tire-bouchonnée plein centre à rebond(s), H.Latorre, le trésorier véreux, convertissait la sanction.

Ne restait plus à attribuer que le prix citron, décerné sans discussion au Menhir du Cantal, dont on pensait que la fréquentation assidue de la défaite modifierait le légendaire mauvais esprit consécutif à ses échecs : il n’en est rien   

 

 

 

Samedi 22 Juin 2002

Stade de Gelos

 

LOYAL RACING CLUB  /  FONTENOY OLYMPIQUE P.B.       3-3

Buts : Tardan, Pascual, Guilhem.

Winograd  3– Laloo 3( Mirat 3), Faucogney 4( Carella 2), Gouvet 4, F.Tillos 4( Blanc 4) – Guilhem 5 (Pouget 2), Sabatte (cap) 4 ( Bernatet ) 4, Debaes 4 ( Vaz 2 ), Carcabal 2 (Pascual 1) – Tardan 4 (J .Tillos 2), Laborde 3. 

 

UN NUL FLATTEUR

Alors que la Pamut devenue Ociamut puis désormais Fontenoy Olympique, continue son opération renfort tous azimuts, l’équipe du Loyal, vieillissante, est handicapée par de nombreuses absences : Palacios, Laveau, Gerbet, Castang  et la dernière recrue (virtuelle) Daulon font défaut au coup d’envoi. Fred Laborde n’a pas joué depuis un an, et les rentrées des Pierrôts, Blanc et Faucogney, ne constituent pas une garantie définitive de succès. Dans le camp adverse, au contraire, c’est Byzance : 6 joueurs de ligue d’aquitaine en exercice aligné d’entrée, et jusqu’à la fin d’ailleurs, dont un gardien de haut niveau.

Le Loyal après avoir égalisé deux fois, croira un court instant tenir sa victoire, mais une égalisation logique clora les débats : un nul inespéré pour le champion en titre, compte-tenu notamment des occasions de Latorre ( tête haut dessus, seul à deux mètres des buts ) et de Pardaillan (un pénalty expédié sur le poteau de corner ). Disputée dans l’ensemble dans un esprit plus conforme à ce que l’on attend de cette rencontre, le cru 2002 s’est avéré plus digeste que le précédent… 

 

LE COMPTE-RENDU DANS LA PRESSE

Handicapé par de nombreuses absences, surtout en attaque, éprouvée par des conditions climatiques coréennes, le Loyal RC a frôlé la première défaite de son histoire.

Balloté par le milieu de terrain de vedettes du Fontenoy, dépassé par la vitesse de course de Diego Puyau et de Ferenc Racz, il ne doit qu’à son gardien et à des gestes techniques d’une invraisemblable médiocrité de Horst Latorre et de Chalana Pardaillan de ne pas avoir été balayé.

Seul le diabolique Tardan a fait illusion, laché pour une fois par les stratèges Carçabal et Pascual respectivement embourbés dans le Chivas et le Chorizo.

C’est très logiquement que le FOPB ouvrait le score par son basque créatiné Espilondo, avant de manquer à plusieurs reprises de faire le break. La doublette d’attaque du Loyal remettait les compteurs à zéro à la billéroise, parité donc, à la mi-temps.

Dés la reprise, le Fontenoy et son immuable milieu de terrain de D.H.R. reprenait l’ascendant (but de Rico Beyrie ), avant que Pascual l’escroc n’égalise à nouveau, récompensé sur le coup de son incomparable passivité dans la surface de réparation adverse.

Pendant que les psychopathes associés tentaient en vain de pourrir les débats (Pere-Escamps, Gouvet, Blanc/Levet, Debaes, liste non exhaustive ) la providentielle musaraigne s’écroulait dans la surface et obtenait un indiscutable pénalty, converti en force par Guilhem.

En tête contre toute logique, le Loyal était immédiatement sanctionné d’un pénalty de compensation, le vent violent ayant fait tomber T.Pardaillan dans la surface. Le simulateur tentait de se faire justice lui-même, et expédiait le ballon sur le poteau de corner, grâce à une souplesse de cheville inexpliquée à ce jour. Le temps de relever les joueurs du Loyal écroulés de rire sur la pelouse, et Hervé Latorre, dit Dédé la sardine faisait mieux encore : idéalement placé à cinq mètres des buts vides, il expédiait sa tête au-dessus des chênes centenaires du parc du Pradeau. Nounours Pardaillan faisait une syncope et était évacué vers l’hôpital le plus proche, privant le Menhir de son joker offensif. Espilondo, sans état d’âme finissait par égaliser. Un but était ensuite refusé de chaque côté, pour des raisons aussi mystérieuse dans un cas que dans l’autre, le score ne bougera plus.

Il était écrit que même avec une équipe aussi solide, même avec la quantité incroyable d’occasions qu’il s’est procuré, même avec une température caniculaire fort défavorable au Loyal, Le Fontenoy ne sait décidément  pas gagner…

 

 

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